J’ai suivi la formation de sophrologue à FormaQuietude en 2016, dans le cadre du cursus complet, aux côtés de Séverine Carqueville. Cette formation a marqué un tournant dans ma vie, en me donnant les outils nécessaires pour pratiquer et transmettre cette discipline avec authenticité.
La sophrologie a été une révélation : une méthode qui se suffit à elle-même et qui offre des outils concrets pour aider chacun à trouver ses ressources et à s’autogérer. Aujourd’hui, en tant que référente en sophrologie chez FormaQuietude, j’accompagne les stagiaires dans leur parcours et je soutiens les formateurs pour garantir des formations de qualité. Mon rôle est de m’assurer que tout le monde dispose des clés nécessaires pour avancer sereinement et atteindre ses objectifs.
La première qualité essentielle selon moi pour une sophrologue, c’est la présence. Être « ici et maintenant » avec la personne que l’on accompagne. C’est savoir se rendre disponible et être attentif à l’autre, cela aide à établir un environnement sécurisant pour la pratique de la sophrologie et donner envie à la personne de s’impliquer pleinement dans son accompagnement.
Il y a également la qualité d’écoute qui est essentielle pour une bonne pratique de la sophrologie. Il est important de laisser l’espace à la personne pour qu’elle s’exprime, partage ses ressentis, ce qu’elle vit dans l’accompagnement…
Viennent ensuite, bien évidemment, l’empathie, le non-jugement, la tolérance et la patience qui vont venir renforcer une relation de confiance, primordiale pour un accompagnement en sophrologie.
Mon secret ? Ma joie ! (rires) je veille à toujours avoir le sourire et transmettre ma bonne humeur au groupe, de plus avec mon expérience dans le théâtre, je suis très à l’aise à l’oral, et j’ai su acquérir également une bonne dose d’autodérision.
Je me sers également de mon expérience professionnelle notamment, lorsque je prenais en charge des nouveaux arrivants. Pour moi, je me dois de transmettre des connaissances, des outils qui soient clairs, précis et qui ont du sens pour les formateurs et les stagiaires. Il faut donner les moyens aux personnes pour qu’elles puissent réussir.
Que ce soit en virtuel ou en présentiel, il est important qu’un groupe fonctionne et pour cela je veille dès le premier jour de formation à établir un cadre. Etablir des règles, une charte de groupe avec l’ensemble des stagiaires va permettre ainsi l’adhésion de chaque membre du groupe.
La sophrologie n’est pas une discipline qui nécessite un toucher, il n’y a pas d’impact à effectuer la formation en distanciel. De plus, les outils offrent la possibilité de créer plusieurs salles de travail au sein d’un même groupe, permettant ainsi que chaque stagiaire puisse pratiquer la sophrologie à travers des exercices de groupe ou en binôme.
Slides, groupe de pratique, études de cas ou encore des quiz : j’aime varier les méthodes pédagogiques afin de rendre les formations vivantes et interactives pour les stagiaires. Quand on est formateur, on doit vivre ce qu’on enseigne pour pouvoir transmettre non seulement le message, mais aussi la passion pour ce futur métier.
Je veille également à faire participer l’ensemble du groupe, m’assurer que tout le monde se sente pleinement intégré dans le groupe et m’assure que chacun puisse avoir un espace nécessaire à l’échange.
Depuis peu, j’accueille les stagiaires avec une musique d’accueil lors des formations en classe virtuelle, cela a un fort impact positif mettant dans les bonnes dispositions mes stagiaires pour le reste de la journée. J’essaie toujours de trouver le petit plus pour maintenir leur intention et leur motivation.
En 2025, nous proposerons plusieurs spécialisations en sophrologie : l’endométriose et le cycle féminin, la gestion de la douleur, les acouphènes, le sport, le deuil, la gestion du poids. D’autres nouveautés seront proposées par la suite. Restez connectés 😉
